Dans son nouveau roman, Marc Levy manie avec brio le suspens pour tenir en haleine le lecteur captivé par la découverte d’un étrange secret de famille. Au fil des pages, l’auteur nous surprend, sans jamais plagier les recettes de ses anciens succès. Un livre à emporter sur la plage, bien qu’il est fort à parier que vous l’aurez dévoré avant la fin de la trêve estivale…
Les secrets de famille sont-ils faits pour être découverts ?
Ma vie a changé un matin alors que j’ouvrais mon courrier. Une lettre anonyme m’apprenait que ma mère avait commis un crime trente-cinq ans plus tôt. L’auteur de cette lettre me donnait rendez-vous dans un bar de pêcheurs sur le port de Baltimore et m’ordonnait de ne parler de cette histoire à personne. J’avais enterré Maman à Londres au début du printemps ; l’été s’achevait et j’étais encore loin d’avoir fait mon deuil. Qu’auriez-vous fait à ma place Probablement la même erreur que moi.
Eleanor-Rigby est journaliste au magazine National Geographic, elle vit à Londres. Un matin, en rentrant de voyage, elle reçoit une lettre anonyme lui apprenant que sa mère a eu un passé criminel. George-Harrison est ébéniste, il vit dans les Cantons-de-l’Est au Québec. Un matin, il reçoit une lettre anonyme accusant sa mère des mêmes faits. Eleanor-Rigby et George-Harrison ne se connaissent pas. L’auteur des lettres leur donne à chacun rendez-vous dans un bar de pêcheurs sur le port de Baltimore. Quel est le lien qui les unit ? Quel crime leurs mères ont-elles commis ? Qui est le corbeau et quelles sont ses intentions ? Au coeur d’un mystère qui hante trois générations, La Dernière des Stanfield nous entraîne de la France occupée à l’été 44, à Baltimore dans la liberté des années 80, jusqu’à Londres et Montréal de nos jours.
Le suspens romanesque : l’autre style de Marc Levy
Connu pour ses romans divertissant, Marc Levy renouvelle sa prouesse avec une épopée réunissant une galerie de personnages liés par le passé. Les histoires se croisent, imbriquant chaque destinée en laissant au lecteur tout le loisir d’imaginer quel sera le dénouement de cette saga captivante. J’ai lu les 464 pages de ce livre en deux jours, n’ayant eu la liberté de le lire sans être dérangée. Les amateurs de polars aimeront autant que les fidèles lecteurs de l’auteur, dont la bienveillance se ressent dans les écrits, tant il peaufine la structure de ses manuscrits…
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